Laissant çà et là les miettes de nos reliefs aux piaillements d’une poignée de poussins tyranniques, tandis que crevaient ceux par qui ils prospéraient. [OR LE CHŒUR DIT : Aïe ! Pauvres ! Vous avez l’urticaire de la pensée. Cela vous gratte et vous arrache la peau de l’âme. Cette crise de conscience vous passera sitôt que votre ventre insatiable remuera de faim.]
Vous n’avez donc pas de cœur.
Vous n’avez donc pas de cœur.
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