Trois aboiements.
Je suis sorti et j’ai respiré à pleins poumons. La tête m’a tourné. J’ai imaginé notre mer — calme — sous le ciel serein.
Je suis sorti et j’ai respiré à pleins poumons. La tête m’a tourné. J’ai imaginé notre mer — calme — sous le ciel serein.
«et l'amour qui brûle tout par les yeux et par le cœur», http://fictions-breves.blogspot.fr/2013/03/le-videogame-62.html
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