11 mars 2013

Lai (5)

Et le cœur s’effondre. On ne reconnaît pas la rue, ni les kiosques à journaux, ni les titres, ni les volets mécaniques de l’épicerie et le cœur n’éprouve aucun soulagement devant un décor fictif qui, du même matériau que les rêves, est la réalité.

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